En appliquant un ambitieux programme d’investissement public (infrastructures, transports urbains, hôpitaux, logements…), dans toutes les filières : agroalimentaire, nouvelles technologies, santé, mode, hôtellerie, etc.
Actuellement, la majorité des entreprises algériennes, arrivent a réalisées leurs ventes uniquement sur le marché intérieur, l’exportation est perçu par l'ensemble des PME algériennes comme une démarche hasardeuse. Cette réticence s'explique en partie par le fait que l'export implique la mise en place de moyens logistiques et administratifs (transport, formalités pratiques pour se faire payer, formalités douanières, ainsi que les préoccupations de paiement (craintes d'impayés, poursuite judiciaire). Vient ensuite le manque d’information et de savoir-faire.
Dans un autre ordre d'idée, vient la diversification qui propose aussi la création d’entreprises dédiées a l’export, qui seraient de taille critique convenable (ou regroupant un nombre d'entreprises, consortium), l'objectif est que les entreprises soient des champions nationales de l’export.
L'enjeu est essentiel, car la diversification de l’économie c’est aussi la diversification des exportations HH. Toute nouvelle activité créée dans ce contexte est en réalité le plus souvent égal à un potentiel produit qui peut être exporté, par l'effet direct qu'il a sur la concurrence entre les PME algériennes exportatrices et les PME qui se suffisent du marché intérieure.